DE CETTE VIE QUI COURT : LA BEAUTÉ.
De cette vie qui court et tant précipitée
Du temps court qui ravit tout instant-liberté
Beauté crie – on s'épate autant qu'elle nous gâte...
Catastrophe – son train pris – elle nous astreint
Là – nous apostrophant – comme le prie l'enfant
A du partage empreint d'aréopage étreint
En mauvaise mathe nous n'avisons qu'en hâte
A tendre où se défend le tendre qui se fend
Lors la Beauté clame sur routes de nos rêves
Que n'est hantée sa trame en toutes nos vies brèves
Happant différences – concert d'égalité
En paix révérence elle sert fraternité
Ce long chemin au vent commence maintenant
Savant en nos mains – ses semences tenant.
A Paris le 1er Février 2021,
Alain MINOD.
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