mardi 5 novembre 2013

Un texte de la poétesse française France BURGHELLE-REY .

Il y a c’est vrai des cris qui déshabillent les mots pour des jeux qui ne mènent à rien

Mais je me souviens souvent du Rhin du Rhin chantant L’eau était vive de mon enfance

Je m’opposerai encore longtemps quitte à rester obscur à la mort de la musique





France BURGHELLE-REY.

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