J'aime, quand le soleil m'entoure de son
bras la nuque et l'épaule. Quand, de son étreinte chaude, fraternelle,
fourmillante, compacte, juteuse, il m'enserre avec force, j'ai subitement la
sensation d'un ami proche qui m'assure de son affection, de sa présence et qui,
de la sorte, me vivifie !
Il m'enrobe, comme
pourrait le faire un vêtement d'hiver, ou, pourquoi pas, même, quelque entité
charnelle...
Texte et photo : Patricia Laranco
(Tous droits réservés)
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