mercredi 2 avril 2014

C'était hier soir, à MONTROUGE (France), à nouveau autour de l'anthologie POÉSIE FÉMININE CONTEMPORAINE DE LANGUE FRANÇAISE de Jean-Claude ROSSIGNOL.

Hier au soir, à savoir mardi 1er avril 2014, dans les modernes locaux de la MAISON DES ASSOCIATIONS de MONTROUGE (France) et à l'invitation de l'association artistique locale   VOIX TISSEES , se déroula un nouvelle manifestation poétique autour de l'anthologie POÉSIE FÉMININE CONTEMPORAINE DE LANGUE FRANÇAISE publiée, fin 2012, par  Jean-Claude ROSSIGNOL en hommage à sa regrettée compagne, responsable avec lui de l'association et de l'entreprise de promotion de l'écriture poétique féminine LES MESSAGÈRES DU POÈME, Christiane LAÏFAOUI.
En dépit d'un public que l'on aurait peut-être souhaité un peu plus nombreux, ce fut une rencontre très conviviale et, de surcroît, ponctuée par des instruments de musique assez peu courants...





Le Printemps...des Poètes !









La sympathique Martine RIGO-SASTRE, responsable de l'association invitante, VOIX TISSÉES, présente Jean-Claude ROSSIGNOL,de l'association  LES MESSAGÈRES DU POÈME et ouvre la séance.








LE PUBLIC.






















 Martine RIGO-SASTRE, en train de lire un poème de Marie SUNAHARA (poétesse japonaise) figurant dans l'anthologie  POÉSIE FÉMININE CONTEMPORAINE DE LANGUE FRANÇAISE.









 A l'extrême gauche, un tout jeune homme est venu dire un poème en langue créole des Antilles françaises, accompagné par l'instrument de la dame qui se tient au milieu.








 A gauche,  Martine RIGO-SASTRE; à droite, Jean-Claude ROSSIGNOL en train de présenter l'historique de son anthologie, de parler de la sous-représentation des femmes dans l'édition poétique française et d'expliquer sa démarche.








 A droite, la poétesse franco-mauricienne Patricia LARANCO, en train de lire un poème de Ananda Devi puisé dans une des autres anthologies publiées par LES MESSAGÈRES DU POÈME, Tisser des voix contre le silence.




Accompagnée au Didjeridoo australien, Patricia LARANCO lit un de ses propres poèmes.










Egalement accompagnée au Didjeridoo, mais assise, la poétesse française Francine CARON déclame une de ses œuvres.











De gauche à droite, Martine RIGO-SASTRE et la poétesse française Rébecca GRUEL.










De droite à gauche, Jean-Claude ROSSIGNOL et l'écrivaine française Victoria THERAME en train de lire l'un de ses textes.



Victoria THERAME.











Venue en spectatrice, la poétesse Jacqueline PERSINI-PANORIAS a accepté de dire un texte.






















































Photographies : Patricia LARANCO et Jacqueline PERSINI-PANORIAS 
(Tous droits réservés)


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