TENDRESSE SOUS AUVENT QUI SE LÈVE SOUS LE VENT !
Sur le bitume qui se met à giboyer
la pluie allume un rimmel aux lèvres des rues
par vent dansant – démêlant chevelure crue :
branches épelant marbre sans y noyer
cette ombre qui penche à la lumière si fauve
que même y vrombissent sous les hanches des murs :
les phares bondissants où se déhanche la pure
pierre en ondes qui enclenchent et qui sauvent :
la terre qui s'arrondit dans le ciel du soir
émondant la guerre : en amours avec histoires
sans décevoir au gris ce monde qui pense
jusqu'à la colère sans prix d'à-coups de vent
là sous l'auvent qui danse – se levant …
Il virevolte l'air sans cris autre que Présence !
la pluie allume un rimmel aux lèvres des rues
par vent dansant – démêlant chevelure crue :
branches épelant marbre sans y noyer
cette ombre qui penche à la lumière si fauve
que même y vrombissent sous les hanches des murs :
les phares bondissants où se déhanche la pure
pierre en ondes qui enclenchent et qui sauvent :
la terre qui s'arrondit dans le ciel du soir
émondant la guerre : en amours avec histoires
sans décevoir au gris ce monde qui pense
jusqu'à la colère sans prix d'à-coups de vent
là sous l'auvent qui danse – se levant …
Il virevolte l'air sans cris autre que Présence !
Alain MINOD
le 07/12/2017.
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