tête nue
pensée pointue
rapide et à vide
entre les lignes de
suicides
le temps passe
le soleil joue au
passe-passe
entretemps la vie
sans aucune phobie
se dirige à toute
allure
vers l'infini azur
nous :
nous dansons au
rythme de la fin
nous chantons de
funèbres refrains
nous cultivons nos
jardins
nous voulons nous
préparer un bon lendemain
malgré des rêves
anodins
on se cogne à la
croisée des chemins
dans le vide entre
humains...
GREGPHILE
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