"Dans le cadre juridique international, les enfants doivent être protégés dans les zones de conflit. Pourtant, en Israël, Manasra a non seulement été condamné à de la prison à l’âge de 13 ans, mais il a été contraint à des aveux, sous la menace d’une arme, par l’armée et les enquêteurs israéliens. En plus, quand le droit israélien n’a pas permis à Manasra d’être jugé à cause de son jeune âge, les législateurs israéliens se sont mis à changer la loi afin de permettre sa détention. Le cas de Manasra continue d’être l’illustration des abus d’Israël contre les enfants palestiniens, avec un impact non seulement sur les populations actuelles, mais sur les générations encore à venir. Les intimidations et menaces sur ce jeune garçon, même alors qu’il était menotté à son lit d’hôpital à Jérusalem, ont contribué à détériorer la santé mentale de Manasra, et des représentants de l’ONU ainsi que des responsables, militants, avocats, travailleurs en santé mentale et défenseurs des droits de l’homme ont exhorté Israël à le libérer." Lire la suite de cet article de Mariam Barghouti en date du 22 juillet dernier sur le site de l'Agence. A lire également sur le site de l'Agence, cet article du site d'analyses palestinienne Al-Shabaka publié ce jour : L’Intifada de la prison : soutenir les prisonniers en détention administrative Et cet article d'Ali Awad et Emily Glick en date du 27 juillet dernier : Les cicatrices qui ne guérissent pas à Masafer Yatta |
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