Il faut un poème pour dépasser ma peine.
Pleins de tranquillité et de douleurs
ils sont des enfants qui m’aiment et
je t’aime dans ces enfants qui m’aiment.
J’y mettrai la nuit ses joues bleues sont des chantres qui prient.
Je crois que ton nom n’a pas besoin d’eux.
Je regrette mes ailes, je les ais échangées pour que mes rêves te rejoignent.
Ton corps en vertige nous résiste.
Je voudrais que tu restes.
J’ai couché l’horizon.
Il est magnifique mais si petit !
Je crois que la vie et la mort sont deux cendres de neige.
Je crois qu’un flocon est ton âme.
Zohra MRIMI.
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