Sur la peau du doute je colle le bois
Que refuse de croire ta main solitaire
Car pour les dieux du doute et pour moi
Il est si difficile de joindre le vin
Au col blanc du bleu anonyme.
L’herbe est chaude en mémoire du bois
Que sème sous ta peau la solitude
Souffle léger au blanc nuageux
Qui souvent au nu du vent
Jongle avec le temps de nos rêves.
Souviens-toi toujours
Qu’il est si difficile de joindre le vin
Au col blanc du bleu anonyme
Que trace sur la peau du doute
Le bois de ta main solitaire…
Cébastien ARISSOUN.
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