vendredi 12 janvier 2024

Edith BERTHUIT (France) se débat toujours avec les affres de la passion...

 



Submergée par le venin de ton prénom

Tendresse à contretemps
Accrochée au vide de leurs rires
Qui crachent leurs étincelles dans mon sommeil

Il me reste des miettes de cris
À ton sourire infranchissable
À la caresse de ton dos
À la surface de ta peau
À l’écho de ton corps
Silencieux

La vie comme un couteau
Sans boussole
Aux frontières de l’inaccessible
Ciel minable au réveil
Trop lointain néant

Flinguer les désirs









Edith BERTHUIT.
Janvier 2012.















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