Submergée par le venin de ton prénom
Tendresse à contretemps
Accrochée au vide de leurs rires
Qui crachent leurs étincelles dans mon sommeil
À ton sourire infranchissable
À la caresse de ton dos
À la surface de ta peau
À l’écho de ton corps
Silencieux
La vie comme un couteau
Sans boussole
Aux frontières de l’inaccessible
Ciel minable au réveil
Trop lointain néant
Flinguer les désirs
Edith BERTHUIT.
Janvier 2012.
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