Au départ, c’est toujours la même chose. La page blanche. Les fragments d’une vie en quinconce. On sniffe les flots dorés d’un chaos inéluctable. On se raccroche à ce reste de café dans la tasse. Il y a la peur des mots qui font mal. Peur de ce labyrinthe qui nous engloutit jusqu’à la moelle. Il faut cogner, cogner toujours plus fort pour ingurgiter cette colère carnivore.
Prisonnier de tes propres dérives, De tous ces remords qui te rongent le corps.
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