J’ai ri parfois de désespoir, de tous ces lendemains qui conduisent à une impasse. Ici, tout le monde ressemble à tout le monde. Vie de faussaire, de plagiat et de déceptions infinies. Il y a toutes ces nuits profondes où nous ne sommes plus que des ombres au milieu des fracas.
Demain, il faudra, sans préavis, vendre notre âme pour quelques restes d’humanité.
Nous n’avons pas le droit
De briser la parole qui nous éveille.
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