Des lourdes heures
de la nuit sourdent
des hordes
cauchemardes
Elles me
poursuivent à me perdre
parfois m'attrapent
Me mordent,
m'encordent
et torturent mon
enfance éperdue
Quand viendra le
pardon ?
Quand les flammes
mouchées et les braises en cendres
Voudront-elles
s'éteindre
En un somme agité à
l'aube qui point ?
Éveillé
Il me faudra
ceindre ma tunique
Et partir au combat
Robert NOTENBOOM,
in A l'embaumée des Fleurs,
Editions du Puits de Roulle
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