LE TEMPS SOUHAITE-T-IL VRAIMENT
LA BIENVENUE
A L’ÉTÉ SI FRAÎCHEMENT EN FÊTE ADVENU ?
A L’ÉTÉ SI FRAÎCHEMENT EN FÊTE ADVENU ?
Ce p'tit vent piquant du soir qui
nettoie l'azur
et danse dans les arbres qui près des toits flottent
vante un autre espoir où s'apitoie le futur -
N'est glabre Paris intense qui s'emmaillote
doucement d'ombre fraîche dans ses pâles murs
avec de l'or au sommet de sa chevelure
et danse dans les arbres qui près des toits flottent
vante un autre espoir où s'apitoie le futur -
N'est glabre Paris intense qui s'emmaillote
doucement d'ombre fraîche dans ses pâles murs
avec de l'or au sommet de sa chevelure
Là – sous l'auvent – toutes
paroles s'envolent
rejoignant – des hirondelles – le vol savant
empoignant de leurs ailes Soleil en son môle -
diamants d'abeilles vus du ciel vont s'y gravant -
Et la lune fait un clin d’œil à la lumière :
croissant immune au fin seuil de la ville entière
rejoignant – des hirondelles – le vol savant
empoignant de leurs ailes Soleil en son môle -
diamants d'abeilles vus du ciel vont s'y gravant -
Et la lune fait un clin d’œil à la lumière :
croissant immune au fin seuil de la ville entière
A part l'équerre latérale : toute
en brillant -
l'azur en cet éther crémeux révoque en doute
l'ouverture d'été en camaïeu brûlant-
En diagonale abritée le rouge fait route
vivement vers le bleu royal – vers cette nuit -
Beau châle ! Étoile bouge - te brique – ne t'essuie !
l'azur en cet éther crémeux révoque en doute
l'ouverture d'été en camaïeu brûlant-
En diagonale abritée le rouge fait route
vivement vers le bleu royal – vers cette nuit -
Beau châle ! Étoile bouge - te brique – ne t'essuie !
Alain MINOD.
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