Le Hirak du 22 février est aujourd’hui menacé. La contre-révolution est en marche, en témoigne la répression des manifestations du 1er mai.
Au même moment, le FLN portait à sa tête d’un des plus farouches partisans de Bouteflika. L’opération « mains blanches », elle, s’intéresse au sort des corrupteurs mais épargne les corrompus. Ce mot n’a d’ailleurs jamais été prononcé par le chef d’état-major, métronome qui guide le rythme de la justice.
Nous ne voulons pas d’une république des oligarques. Nous ne voulons pas non plus d’un régime militaire. Comme nos frères soudanais, nous maintiendrons la pression pour que le pouvoir soit transféré aux civils. Nous voulons un nouveau système, avec des idées neuves, des hommes et des femmes propres, et une Constitution totalement réécrite.
En attendant, #Yetnahaw ga3* !
* Qu'ils partent tous !
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire