Ligne après
ligne
celle que
l’on ne nomme pas
promène sa
faucille
sur ce que
j’ai aimé
Sur le
chemin des sources
la
constance du gel
efface les
dorures
de mes
enluminures
Combien de
temps encore
entendrais-je
monter
le chant
des pierres lentes
José LE
MOIGNE
28 mai
2019
©
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