Des minutes, des heures et des
mois se sont écoulés
Mais les larmes de ta famille ne cesseront jamais de couler
Elle en qui ta mort brusque creusa un vide
Elle qui, de ta présence et de ton amour était si avide
Mais les larmes de ta famille ne cesseront jamais de couler
Elle en qui ta mort brusque creusa un vide
Elle qui, de ta présence et de ton amour était si avide
En parlant de ta famille je ne me
limite pas seulement à tes parents
Car ils sont de ta famille, tous les élèves et étudiants
Eux avec qui tu as passé la plupart de ton temps
Eux sous les yeux desquels tu fus abattu férocement
Car ils sont de ta famille, tous les élèves et étudiants
Eux avec qui tu as passé la plupart de ton temps
Eux sous les yeux desquels tu fus abattu férocement
Fallou, injustement, tu es mort
Alors, en réclamant justice aurions-nous tort ?
On pense que non et on a raison
Ton silence éternel nous a enlevé le bâillon
Alors, en réclamant justice aurions-nous tort ?
On pense que non et on a raison
Ton silence éternel nous a enlevé le bâillon
Justice sera faite mais d'ici là
repose en paix
Là-bas, ils ne viendront jamais t'embêter
Et ici, on donnera corps et âme
Pour que ne s'éteigne jamais ta brillante flamme.
Là-bas, ils ne viendront jamais t'embêter
Et ici, on donnera corps et âme
Pour que ne s'éteigne jamais ta brillante flamme.
El
Hadji Gana SENE,
le
15/05/2019
à
Diourbel
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