Dans l’obscurité moite
à notre passage
la poussière s’embrase
de phosphorescence.
Nous avons l’âme verte
qui déplace les monts.
Il y a cette petite musique
qui ne nous quitte jamais.
Nous ressentons toujours
le poids des ailes qu’ont les anges
et l’envie de les étendre
à nouveau nous reste
comme celle
d’un membre amputé.
à notre passage
la poussière s’embrase
de phosphorescence.
Nous avons l’âme verte
qui déplace les monts.
Il y a cette petite musique
qui ne nous quitte jamais.
Nous ressentons toujours
le poids des ailes qu’ont les anges
et l’envie de les étendre
à nouveau nous reste
comme celle
d’un membre amputé.
CEEJAY.
©
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