Frémissement
irréel
Des yeux sans regard
Des yeux sans regard
Et pourtant tu
m’éclaires
Dans tous ces jours
Où je ne te vois pas
Dans tous ces jours
Où je ne te vois pas
Lent cheminement
De l'un à l'autre
De l'un à l'autre
Bouts de soi en
miroir
Et des silences
d'outre-parole.
Edith
BERTHUIT,
août 2015
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