Marche d’un pas mesuré
Pour ne pas précipiter la chute
Du soleil dans cet abîme
De ténèbres que tu portes en toi
Comme si ta poitrine se creusait
Sous les assauts de la lumière
Jusqu’à ne plus être qu’une cage vide
Où le cœur bat sans le moindre écho
François TEYSSANDIER.
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