Dans quelques semaines, des gouvernements se réuniront au Canada pour négocier un traité mondial visant à mettre fin à la pollution plastique ! Mais un groupe très restreint de responsables politiques adeptes des combustibles fossiles tente de faire échouer les négociations.
Nous avons un plan pour les en empêcher.
Steven Guilbeault, le ministre canadien de l’Environnement, jouera un rôle clé dans les négociations. Il est donc crucial qu’il tienne tête aux lobbies du pétrole. Nous avons élaboré une stratégie de campagne ultra efficace afin de le soumettre à un maximum de pression. Mais nous avons besoin de votre aide pour y parvenir.
Si 5000 d’entre nous font un don du prix d’un café dès maintenant, nous pourrons immédiatement nous mettre au travail en affichant des panneaux publicitaires dans tout Ottawa afin de montrer que l’opinion publique soutient massivement un traité fort, en commandant des sondages dans des circonscriptions clés, en alertant sur le risque politique d’un échec des négociations, et en menant des actions médiatiques juste devant le lieu des négociations.
Nous avons déjà mené ce genre d’actions auparavant, et nous avons obtenu gain de cause, notamment lorsque notre détermination nous a permis d’obtenir l’interdiction des néonicotinoïdes tueurs d’abeilles au sein de l’UE. Grâce à vous, nous pouvons renouveler l’exploit. Pouvez-vous faire un don dès maintenant afin de mettre un terme à la crise du plastique ?
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Le plastique est présent partout : dans nos aliments, dans l’eau que nous buvons, dans les profondeurs des océans, ou encore dans les nuages... Des chercheurs ont même trouvé des microplastiques dans les tissus cardiaques de patients subissant une intervention chirurgicale. Et personne n’est au courant de l’étendue des dangers qu’il présente. C’est édifiant.
C’est pourquoi 175 pays se sont mis d’accord sur l’élaboration d’un traité contraignant sur la pollution plastique d’ici la fin de l’année 2024. Mais un petit groupe de pays producteurs de pétrole tente de saper les progrès accomplis en réclamant un accord peu contraignant qui leur permette de continuer à produire du plastique à la tonne.
Quelques pays tels l’Arabie saoudite et la Russie s’opposent à des règles strictes sur le plastique car le monde se détourne du pétrole en tant que source d’énergie. Ainsi, l’augmentation de la production de plastique à base de pétrole constituerait leur meilleur atout pour compenser cette baisse. Nous prenons l’ascendant en ce qui concerne l’énergie, et nous pouvons faire de même sur le plastique.
La pression citoyenne a empêché ces mêmes pays pétroliers de faire échouer les négociations sur le climat en décembre, malgré tous les efforts déployés. En employant les mêmes méthodes, nous pouvons donc remettre les négociations sur le plastique dans la bonne direction. Mais nous devons agir vite. Faites un don dès maintenant !
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Merci pour tout ce que vous faites,
Vicky, Fatah et l'équipe d'Ekō.
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