Ce que je sens, c’est la place de l’air dans ma gorge.
L’humidité de la terre crachée à la figure.
Les paroles éteintes sur les contreforts.
Des soupçons d’âmes dans l’argile.
Afin que solitaire, tu lises.
Es-tu ? Quand tes gestes sont camisoles.
Lorsque sonne le tumulte
Qui emporte les digues.
Dans la tâche de vivre.
Cela devrait être de la glisse et son ivresse.
L’élan vital qui habite.
Des idées qui percutent.
Des chocs obsessionnels.
Des clics, la déflagration des magnums.
Des numéros de téléphone sur simple appel.
Voyager pour ses peines.
Pour un reste d’oxygène.
Et de chimères…
Cela devrait être !
Dominique TEILLIER.
22/04/2024.
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