Aujourd’hui, Facebook a accès aux données personnelles de
3 milliards de personnes dans le monde. Ce chiffre est
impressionnant. L’entreprise diffuse de fausses informations
dangereuses à une échelle inédite, et elle est en grande partie
dirigée par un seul homme.
De simple site étudiant créé par Mark Zuckerberg en 2004,
l’entreprise est devenue l’une des entreprises les plus
dangereuses au monde.
Cela peut sembler naïf... mais nous pourrions contribuer à la
lutte contre Facebook simplement en lui disant « STOP » !
Je m’explique : en vertu de la législation européenne, nous
avons le droit d’exiger que Facebook cesse d’utiliser nos
données personnelles « à des fins de marketing direct »,
notamment pour les publicités et les recommandations
fortement personnalisées. La loi stipule également que
Facebook n’a pas le droit de facturer des frais
supplémentaires pour exercer ce droit. De graves violations
de la législation sur la protection des données pourraient
coûter des milliards à Facebook, mais les autorités ont
besoin de preuves pour agir. C’est là que nous intervenons :
* Cliquez ici pour refuser la personnalisation par Meta
(Facebook) et permettre à Ekō d’utiliser votre adresse
email pour tenter de vous cibler en mai.
Si Facebook respecte vos droits, vous ne devriez pas recevoir de
publicité. Mais si vous en recevez, nous aurons des preuves
concrètes que l’entreprise ne respecte pas nos droits.
* Ou bien cliquez ici pour refuser la personnalisation par
Meta (Facebook).
Conseil : Meta (la société mère de Facebook) pourrait vous
répondre qu’il existe un formulaire en ligne pour formuler
votre demande, mais ce formulaire est strictement facultatif.
La loi n’impose pas l’utilisation de formulaires en ligne pour
refuser la personnalisation. Tant que vous avez contacté
l’entreprise à partir de l’adresse email associée à votre
compte Facebook ou Instagram, et que vous avez indiqué
votre nom d’utilisateur ou le lien de votre profil, ces
éléments constituent une preuve suffisante.
Des recherches dévoilent que les enfants et les adolescents
sont régulièrement ciblés par des publicités vantant les
mérites de pilules amaigrissantes, de blanchiment de la
peau et de chirurgies esthétiques dangereuses sur Facebook
et Instagram. Pour les politicien·ne·s d’extrême droite du
monde entier, les puissants outils publicitaires de Meta
constituent un outil privilégié pour diffuser des discours de
haine et de fausses informations. Et les algorithmes de
recommandations de Meta sur Facebook et Instagram,
destinés à nous rendre accro et à nous faire visionner
toujours plus de publicités, amplifient le
climatoscepticisme, le racisme et la division.
Meta propose d’utiliser ses outils sans publicité en payant
un abonnement mensuel, mais la gigantesque machine de
surveillance qui traite illégalement nos données
personnelles constitue un grave problème. Et la nouvelle
offre bidon de l’entreprise, « payer ou accepter », ne
change rien à cette situation.
Nous avons réussi à obtenir l’adoption de certaines des
réglementations les plus strictes au monde concernant
les grandes entreprises technologiques. Mettons-les en
œuvre avant qu’il ne soit trop tard.
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