samedi 2 novembre 2019

L'AGENCE MEDIA-PALESTINE.




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Appel à action du 8 au 11 novembre : libérez Khalida Jarrar, Heba al-Labadi, Samer Arbeed et tous les prisonniers palestiniens !


Khalida, Heba et Sameer ont tous-tes, indépendamment les un-e-s des autres, organisé et parlé en faveur des prisonniers palestiniens. Khalida est l’une des plus importantes avocates pour les prisonniers palestiniens, ancienne vice-présidente du bureau des directeurs de l’Association pour le soutien aux prisonniers et pour les droits humains, Addameer. Heba a écrit et a fait campagne en faveur des prisonniers politiques palestiniens, pour inciter à leur libération, dont celle de Georges Abdallah, emprisonné en France pendant 35 ans. Samer Arbeed a été bénévole et a travaillé pour des organisations réclamant la libération de prisonniers — et il a déjà été ciblé pour ce travail. 

Du vendredi 8 novembre au lundi 11 novembre, parlez en faveur de Khalida, Heba, Samer et des milliers de Palestiniens retenus derrière les barreaux. La torture, la détention arbitraire et la violence ont lieu devant le monde entier et nous devons parler pour soutenir ces Palestiniens réclamant leurs droits les plus fondamentaux. Libérez tous les prisonniers palestiniens ! Liberté pour la Palestine !













A lire aussi sur le site de l'Agence : 







Et cet article publié le 31 octobre dernier :










En 2019 Israël a détruit un nombre record de maisons palestiniennes à Jérusalem.


Israël a démoli un nombre record de maisons à Jérusalem-Est occupée en 2019, le nombre le plus important des 15 dernières années, a rapporté jeudi l’association israélienne de défense des droits B’Tselem.

Plus de 140 logements palestiniens ont été démolis, ce qui a causé le déplacement de 238 Palestiniens, dont 127 mineurs.

Parmi les logements qui ont été détruits, 39 l’ont été par les propriétaires eux mêmes, après qu’ils aient reçu d’Israël l’ordre de démolition, afin d’éviter d’encourir les frais de démolition par la municipalité.

Les démolitions de cette année ont de loin dépassé le chiffre le plus élevé des démolitions qui avaient eu lieu en 2016 où 92 maisons avaient été détruites.

Depuis que B’Tselem a commencé à répertorier en 2004 les démolitions de maisons à Jérusalem-Est, Israël a détruit un total de 949 logements, déplaçant ainsi plus de 3.000 Palestiniens.






Lire la suite de cet article en date du 25 octobre dernier sur le site de l'Agence.






Le journal "Le Monde" rapporte également en date du 31 octobre dernier que le régime israélien a donné son feu vert à la construction de 2 342 nouveaux logements dans les colonies illégales : 










Oslo, capitale de la Norvège, interdit les produits et les services des colonies israéliennes.


En dépit des tentatives concertées d’Israël et de ses alliés de droite en Norvège et dans le monde, pour réprimer les mesures soutenant les droits des Palestiniens, Oslo, la capitale et la ville la plus importante de la Norvège, est devenue la sixième municipalité norvégienne à interdire les produits et services issus des colonies, aux côtés d’un conseil de comté.

La semaine dernière, un expert indépendant des Nations-Unies sur les droits de l’homme dans les territoires palestiniens, Michael Lynk, a réclamé une interdiction internationale de tout les produits venant des colonies de peuplement israéliennes, comme un pas vers la fin de cette occupation illégale israélienne qui dure depuis 52 ans.






Lire la suite de ce communiqué du BNC (comité palestinien pour le BDS) sur le site de la Campagne BDS France.









À quoi ressemblera la Palestine en 2048 ? Des auteurs se mettent à la science-fiction pour trouver la réponse.


"Une nouvelle anthologie rassemble les visions de douze auteurs sur ce que sera la vie dans la région en 2048 – apportant un changement libérateur pour certains.

Douze auteurs palestiniens de renom ont imaginé à quoi leur pays pourrait ressembler en 2048, 100 ans après la Nakba où plus de 700 000 personnes ont dû fuir ou ont été expulsées de leurs foyers, dans ce que l’on peut estimer être le premier recueil de science-fiction sur les territoires occupés.

Les histoires, publiées dans Palestine + 100, vont de la représentation d’une solution futuriste au conflit israélo-arabe par Majd Kayyal, dans laquelle deux mondes parallèles occupent le même espace géographique, au concept matriciel de Saleem Haddad pour un « droit au retour numérique ». "






Lire la suite de cet article publiée dans le quotidien britannique "The Guardian" sur le site de l'Agence.






A lire aussi sur le site de l'Agence, ce billet d'Haidar Eid :











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