Aux abords du ciel stagnant plein de lotus
à peine encore rosis quelque peu essoufflés
eau et terre se font
incertaines
de soi ;
cauteleuse à souhait
pour gagner en oubli, docile à la consigne
et les eaux font le mort
assombries et lissées,
répliques de miroir
où des boucles de nue
dénudent le présent.
Il n'y a plus de place
en bordure du ciel,
au Finis terrae,
là où
tout aboutit
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