mardi 9 juillet 2019

La poétesse Zohra MRIMI (Algérie) nous revient, avec ce petit texte...



À la mémoire d'abord des vivants !
En vérité, ils sont vite oubliés
Mais quelles querelles fourniraient leurs
espérances ?
Car leurs esprits semblent garder l'allure d'un cheval, d'un grand peintre, d'un malade qui croise le brasier d'une phrase 
"mes bras maigres déchiraient un siècle"


















Zohra MRIMI.



















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