Malgré l’ampleur de cette répression, à ce jour, aucun membre des forces de sécurité n’a été traduit en justice. Certaines familles ont refusé de porter plainte par manque de confiance en la justice ou par peur des représailles de la part des autorités. Des comités d’enquête grotesques ont été mis en place, dont aucun n’a permis d’aboutir aux procès des responsables présumés de ces exécutions extrajudiciaires et du recours excessif à la force contre les manifestants.
La souffrance des victimes doit être reconnue, leur droit à la justice doit être défendu. Votre mobilisation est essentielle pour interpeller le président Tshisedeki. Pour les victimes. Pour les droits humains !
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