jeudi 7 novembre 2024

Le poésie mélancolique, mais chaleureuse de Richard TAILLEFER...

 



Si je m’en vais, ce sera sans aucun regret. Boudigue ! Comment avoir le moindre sentiment, si tout ne me rattache à rien.
Il restera bien une petite lumière pour éclairer la nuit. Un poème oublié au pied de la fenèstro aux volets clos.
Je passe la main camarades, calme comme un samaritain confronté au mystère des choses. J’explore cette tranquille turbulence des contradictions humaines.
Bouche cousue, je ne vous entends plus ! Sur mes lèvres, vos baisers de Veuve Noire ont foutu un tel Bazar que j’enrage encore, comme un chien dans sa niche.

Le réel
Est plus invraisemblable
Qu’une métaphore hasardeuse

Au gré du vent
Fais-moi voyager
Avec tes rêves, tes chants et tes rires
Toutes ces choses qui valent la peine de vivre.







Richard TAILLEFER.












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