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En Argentine, d’après le ministère de la Santé, ce sont environ 350 000 avortements clandestins qui ont lieu chaque année. La loi argentine ne permet en effet l’accès à l’avortement que dans des circonstances exceptionnelles, mais même dans ces cas-là, l’accès à l’avortement n’est pas garanti. Début 2019, une fillette de onze ans s’est vue refuser une interruption de grossesse par le personnel d’un hôpital, après avoir été violée par le compagnon de sa grand-mère. La fillette a finalement dû subir une césarienne en urgence, ce qui lui a causé des souffrances physiques et psychologiques graves qui auraient pu être évitées.
Face à cette législation draconienne, les femmes argentines doivent souvent faire le choix de mettre leur vie en danger en pratiquant un avortement clandestin sans les soins médicaux nécessaires et risquer d’aller en prison. Depuis 1983, plus de 3000 femmes sont mortes des suites d’avortements clandestins.
Cette situation ne peut plus durer. Depuis le 10 décembre dernier, l’Argentine a un nouveau président. Il s’agit d’Alberto Fernandez, qui s’était positionné en faveur d’une dépénalisation de l’avortement pendant la campagne électorale. Signez pour lui demander de passer à l’acte !
Si vous ne voulez pas où ne pouvez pas utiliser notre système de signature automatique, vous pouvez cliquer ici pour accéder à la pétition.
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