MA FILLE
La chevelure blanche-hiver de l’Europe
A porté les oiseaux de mer
Jusqu’aux paupières chaudes de l’océan
A porté les oiseaux de mer
Jusqu’aux paupières chaudes de l’océan
Ils sont revenus sur ta plage de marée basse
Tes oiseaux migrateurs
Et ont réouvert les portes Élysées de la baie
Laissées fermées depuis l’autre saison
Tes oiseaux migrateurs
Et ont réouvert les portes Élysées de la baie
Laissées fermées depuis l’autre saison
Reviendras-tu l’été prochain
T’asseoir auprès de nous
Sous l’ombre câline des nains cocotiers
Nous sommes si seuls ta mère et moi
Nous sommes si seuls dans cette vaste demeure
Que ton absence a rempli de manque
T’asseoir auprès de nous
Sous l’ombre câline des nains cocotiers
Nous sommes si seuls ta mère et moi
Nous sommes si seuls dans cette vaste demeure
Que ton absence a rempli de manque
Reviendrez-vous auprès de nous
A l’ombre des cocotiers ton époux et toi
Nous avons tant besoin de joie
Nous avons tant besoin d’amour
A l’ombre des cocotiers ton époux et toi
Nous avons tant besoin de joie
Nous avons tant besoin d’amour
La mer avec des vaguelettes d’espoir
Nous fait rêver de petits-enfants insoumis
Pour renouveler l’odeur jasmin de la nuit
Et réinventer les poussières de bonheur
Qui embaumaient la maison autrefois
D’un fort parfum de rires
Nous fait rêver de petits-enfants insoumis
Pour renouveler l’odeur jasmin de la nuit
Et réinventer les poussières de bonheur
Qui embaumaient la maison autrefois
D’un fort parfum de rires
Alassane
NDIAYE
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