La mer, ce
soleil qui cogne et brûle ton visage. Oubliés les souffrances, tes malheurs et
ceux des autres. La nuit ne sera qu’un éclat de rire ou ce cri accidentel d’une
porte qui claque. Tu ne demanderas plus la permission d’être, libéré de toutes
ces contraintes que l’on t’a inculquées depuis trop longtemps. Je m’émeus de
n’être rien d’autre que moi-même, avec cette conviction que toute chose mérite
d’être vécue. Jette ton regard de droite à gauche, éprouve cet espace qui s’ouvre à toi.
Cette inquiétude immotivée, sans
raison.
Ne pas s’arrêter, aller de l’avant,
Sur la longue route de la vie.
Ne pas s’arrêter, aller de l’avant,
Sur la longue route de la vie.
Richard TAILLEFER.
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