OMBRE OBLIQUE.
Le poème
est un minuscule lointain
Où j'existe
En vapeur d'eau
Où j'existe
En vapeur d'eau
Goutte à goutte
Je me réinvente
Dans la chute des lunes
Je me réinvente
Dans la chute des lunes
Mais comment étancher mes nuits
De leur soif de lumière
De leur soif de lumière
Entre rêves et regards
Qui s’effeuillent
Qui s’effeuillent
Je marcherai à plus infini
Pour stoker mon souffle
Dans des soupirs
En boucle d'oreille
Pour stoker mon souffle
Dans des soupirs
En boucle d'oreille
Peter CÉNAS
©
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