J'appelle à de nouvelles épreuves qui rugissent sur mes craintes
Je veux que vous me perdiez aux quatre chemins, le déplaisir est humain
Perdez-moi dans votre indifférence, tout ce que vous êtes achèvera ma mémoire
Vous chantez et le vent passe
Vous chantez et ce n'est pas comme les oiseaux
Mais les oiseaux chantent tous pareils.
Et puis vint le jour, identique à l'amour
Et puis le destin, invisible, invincible comme la mort, c'est l'esprit qui vit et refleurit l'abîme.
Puis,
Ma folle idée ralentit la mer,
Haute
Je suis certaine qu'une vague est un paysage, un homme et autres.
Je veux que vous me perdiez aux quatre chemins, le déplaisir est humain
Perdez-moi dans votre indifférence, tout ce que vous êtes achèvera ma mémoire
Vous chantez et le vent passe
Vous chantez et ce n'est pas comme les oiseaux
Mais les oiseaux chantent tous pareils.
Et puis vint le jour, identique à l'amour
Et puis le destin, invisible, invincible comme la mort, c'est l'esprit qui vit et refleurit l'abîme.
Puis,
Ma folle idée ralentit la mer,
Haute
Je suis certaine qu'une vague est un paysage, un homme et autres.
Zohra MRIMI.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire