vendredi 27 décembre 2019

Zohra MRIMI (Algérie).




J'appelle à de nouvelles épreuves qui rugissent sur mes craintes
Je veux que vous me perdiez aux quatre chemins, le déplaisir est humain 
Perdez-moi dans votre indifférence, tout ce que vous êtes achèvera ma mémoire 
Vous chantez et le vent passe
Vous chantez et ce n'est pas comme les oiseaux 
Mais les oiseaux chantent tous pareils.
Et puis vint le jour, identique à l'amour 
Et puis le destin, invisible, invincible comme la mort, c'est l'esprit qui vit et refleurit l'abîme. 
Puis,
Ma folle idée ralentit la mer,
Haute
Je suis certaine qu'une vague est un paysage, un homme et autres.


























Zohra MRIMI.











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