Le poème meurt de s'attarder
dans la citadelle du langage,
à l'écart des modulations du cœur;
il doit s'établir sur les larmes inédites,
qui, seules, peuvent l'émailler,
le temps de délivrer du nouveau
au sein même de son ordre.
dans la citadelle du langage,
à l'écart des modulations du cœur;
il doit s'établir sur les larmes inédites,
qui, seules, peuvent l'émailler,
le temps de délivrer du nouveau
au sein même de son ordre.
Jean-Louis ROBERT
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