Bonjour,
Intimidation, harcèlement, corruption, censure et parfois homicides. Voici ce que risquent les journalistes en Somalie pour exercer leur métier. Depuis 2017, des journalistes sont assassinés, d’autres fuient le pays et la plupart sont surveillés sur les réseaux sociaux.
Des fonctionnaires gouvernementaux ont développé une réelle stratégie de corruption et de surveillance en soudoyant des médias et des influenceurs somaliens pour qu’ils fassent une couverture médiatique positive du pays. Certains journalistes et citoyens ont donc décidé d’utiliser les réseaux sociaux pour partager des contenus plus critiques du régime. Cependant, les autorités surveillent et rendent compte de ce qui n’est pas en leur faveur. Les auteurs, y compris les leaders de l’opposition, sont menacés, intimidés et harcelés en ligne par les autorités. En 2019, des dizaines de comptes Facebook de journalistes ont été supprimés.
Lorsque le journalisme est étouffé, et que les journalistes sont soudoyés et/ou menacés à cause de l'information qu'ils produisent, les droits fondamentaux à l'information et à l'expression ne sont pas respectés.
Signez notre pétition pour demander au Président somalien de respecter la liberté et l’indépendance des médias, primordiale pour les droits humains ! Les signatures seront remises le 3 mai au gouvernement somalien lors de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Si vous ne voulez pas où ne pouvez pas utiliser notre système de signature automatique, vous pouvez cliquer ici pour accèder à la pétition.
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