Quand jusqu'à ta chair te creuse l'artificiel
Tu cesses d'être avec l'indien des calumets.
Une pieuse prière te cloue à ton ciel
Et tu casses le lien qu'il t'avait allumé :
La diagonale lancée à ton horizon...
Guerre avec les lacets défaits de ta raison :
C'est l'apparaître nié de ton grand chemin
Du biais de l'être que tu ne tiens dans tes mains
Tu cesses d'être avec l'indien des calumets.
Une pieuse prière te cloue à ton ciel
Et tu casses le lien qu'il t'avait allumé :
La diagonale lancée à ton horizon...
Guerre avec les lacets défaits de ta raison :
C'est l'apparaître nié de ton grand chemin
Du biais de l'être que tu ne tiens dans tes mains
Et qu'il te faille tancer
notre terre entière
C'est que tu auras laissé tomber sa lumière...
Quand ses saillies en trombe – dansant sous ton toit -
Abondent en outils – Saisis-les pour ton droit !
C'est que tu auras laissé tomber sa lumière...
Quand ses saillies en trombe – dansant sous ton toit -
Abondent en outils – Saisis-les pour ton droit !
Alors tu peux chanter l'amour en ton domaine
Et la paix plus hantée par la mort – en tes chants
Refleurira et lancera d'autres hymens
Que des amis feront éclore dans leurs chants.
Et la paix plus hantée par la mort – en tes chants
Refleurira et lancera d'autres hymens
Que des amis feront éclore dans leurs chants.
Alain MINOD
Le 03-02-2020.
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