"La décision le mois dernier de la Procureure Générale de la Cour Pénale Internationale (CPI), Fatou Bensouda, d’ouvrir une enquête approfondie sur des crimes supposés commis dans les territoires palestiniens occupés est très bienvenue pour ceux qui promeuvent les droits humains et la justice. Malheureusement pourtant, il semble que tous les pays ne soient pas d’accord. Dans une lettre du 9 avril aux Amis Conservateurs d’Israël, le Premier ministre britannique Boris Johnson a écrit que le Royaume Uni « s’opposait à l’enquête de la CPI pour crimes de guerre en Palestine ». L’enquête, a ajouté Johnson, « donne l’impression d’être une attaque partiale et préjudiciable contre un ami et allié du Royaume Uni »." Lire la suite de cet article de Matt Cannock et Solomon Sacco (Amnesty International) en date du 16 avril dernier sur le site de l'Agence. A lire aussi sur le site de l'Agence, cet article de l'universitaire Greg Shupak en date du 13 avril dernier : La répression israélienne vise à faire taire les journalistes palestiniens |
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