Le voyageur largue les amours trop lentes, cette pauvreté étincelante sur des paroles trop évidentes,
Elles brisent les vivants, les religions sont étrangères aux visiteurs, étrangleurs d'élan.
Le voyageur largue les amarres, ses habitudes trop dures pour les broyer avec le sel, lapeur de frayeurs.
Ses yeux pleins d'eau ont creusé l'eau.
Son corps est inconnu sur tous les lieux encombrés.
Le destin entend ses mains, il palpe le bois cherchant l'endroit du condamné.
L'arbre est fidèle aux oubliés, il porte la solitude comme une réplique qu'il faut utiliser pour toucher les gradins du vent
Et dieu sûrement.
Zohra MRIMI.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire