12 SEPT. 2018 —
Nous aurons l’honneur d’accueillir à la librairie Résistances, durant son bref séjour à Paris, Ayed Abu Eqtaish, le responsable de la section Palestine de l’association Defence Children International (DCI), qui prend en charge les enfants palestiniens arrêtés, détenus, torturés et traduits devant des tribunaux militaires. Une rentrée à ne pas manquer !
JEUDI 13 SEPTEMBRE À PARTIR DE 19 H A LA LIBRAIRIE RÉSISTANCES - 4 VILLA COMPOINT (ANGLE DU 40 RUE GUY MÔQUET). 75017 PARIS METRO GUY MÔQUET OU BROCHANT (LIGNE 13). Merci de votre présence !
Plus de 700 enfants palestiniens sont emprisonnés chaque année par l’occupant israélien en violation de toutes les lois internationales, mais en conformité avec le système d’apartheid puisque des règles et des sanctions différentes sont appliquées par Israël aux enfants, selon qu’ils sont juifs ou pas.
Ahed Tamimi a permis de jeter un éclairage sur ce que vivent ces enfants et adolescents sous occupation. Mais sa libération au bout de 8 mois de prison ne doit pas faire oublier les centaines d’autres actuellement sous les barreaux, et tous ceux qui sont chaque jour terrorisés, enlevés et soumis à un traitement cruel et dégradant.
Et ces derniers mois, avec les déclarations de Trump et les manifestations qui s’en sont suivies dans toute la Palestine occupée, la situation a été particulièrement dramatique pour les enfants palestiniens, qui lorsqu’ils ne sont pas tués, comme c’est régulièrement le cas dans la bande de Gaza (2 par semaine en moyenne), sont kidnappés, torturés, placés en confinement solitaire, et condamnés à de longues peines de prison par les tribunaux militaires, dès l’âge de 12 ans.
Le silence de nos dirigeants face à cette barbarie nous fait honte. Nous vous appelons à venir très nombreux échanger avec Ayed Abu Eqtaish sur la situation de ces enfants, sur le travail qu’effectue DCIP, les obstacles qu’il rencontre pour pouvoir défendre ces enfants, l’évolution qui se dessine à ce sujet dans l’opinion publique internationale, notamment aux USA, et le rôle que nous pouvons nous-mêmes jouer pour contribuer à faire cesser ces atrocités.
Marie.
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