sur la sable
solitaire
une femme sans fard
une femme au cœur bleu
éprise d’absolu
mire la mer
elle attend qu’attend-elle
le temps pleure
elle attend un appel
les larmes du temps
roulent dans son regard vert
à force tant elle
attend elle entend
un appel faible murmure
affaibli par l’écart
entre le réel et l’idéal
l’appel bleu de l’ansive salutaire
elle plonge au cœur bleu de la mer
s’éloignant doucement-ti-dousman
du mensonge du sable blanc
une femme sans fard
une femme au cœur bleu
éprise d’absolu
mire la mer
elle attend qu’attend-elle
le temps pleure
elle attend un appel
les larmes du temps
roulent dans son regard vert
à force tant elle
attend elle entend
un appel faible murmure
affaibli par l’écart
entre le réel et l’idéal
l’appel bleu de l’ansive salutaire
elle plonge au cœur bleu de la mer
s’éloignant doucement-ti-dousman
du mensonge du sable blanc
Jean-Louis ROBERT
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