Bonjour,
Shawkan ne faisait que son travail lorsqu’il prenait des photos du sit-in de la place Rabaa al-Adawiya le 14 août 2013. Pour cela, il a été emprisonné et a risqué la peine de mort. Comme lui, des centaines d’autres Egyptien·ne·s sont emprisonnées pour avoir simplement exprimé leurs opinions.
Bien que le président Abdel Fattah al-Sisi ait déclaré à plusieurs reprises que les Égyptiens étaient libres de s’exprimer, militants politiques, humoristes, journalistes, défenseurs des droits humains, artistes et fans de football sont actuellement derrière les barreaux. Au musellement de ces voix pacifiques s’ajoutent une censure des médias et d’Internet et la mise en oeuvre d’une législation de plus en plus restrictive pour la liberté d’expression. Il est temps que le gouvernement mette fin à sa campagne répressive.
Rejoignez-nous et demandez au gouvernement égyptien la fin des persécutions et la libération de celles et ceux dont la voix est étouffée.
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