Le ciel bleu semble une immense paroi vitrée
rayée, par endroits, par la trace des avions
qui y inscrit ses vastes croix, ses amples arcs,
ses ratures avec une manière de rage
l’incisant et le balafrant à qui mieux mieux
-dans l’intention de le punir d’être aussi beau
ou dans celle de mettre en valeur son azur
en en faisant ressortir
la fragilité ?
Texte et photographie : Patricia Laranco.
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