Te reverrai-je un jour ?
Je ne dors que pour mourir.
Tu es seul !
Car je retiens ton visage sur toutes les sortes de femmes.
Je t'ai même pendu à un arbre,
Tes mains violettes décrivaient une fête.
Je te cherche au fond de mes bras mais il n'y a qu'un demi-creux tout noir
La niche des croix.
Je vais éteindre la nuit qui grossit ton phare,
Tu ne viendras pas ;
Les gens, les animaux ont roulé sur nos ports.
Je ne dors que pour mourir.
Tu es seul !
Car je retiens ton visage sur toutes les sortes de femmes.
Je t'ai même pendu à un arbre,
Tes mains violettes décrivaient une fête.
Je te cherche au fond de mes bras mais il n'y a qu'un demi-creux tout noir
La niche des croix.
Je vais éteindre la nuit qui grossit ton phare,
Tu ne viendras pas ;
Les gens, les animaux ont roulé sur nos ports.
Zohra MRIMI.
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