Te souviens-tu
Les notes qui donnaient le ton
Ton sourire que j’ignorais encore
Le tourment du présent
C’était l’inconnu
Ivre jeunesse que l’on embrassait
Sans saisir
Les notes qui donnaient le ton
Ton sourire que j’ignorais encore
Le tourment du présent
C’était l’inconnu
Ivre jeunesse que l’on embrassait
Sans saisir
Te souviens-tu
Les rythmes étaient des appels
Ton regard que je cherchais
Sondait les plis des promesses
Les couleurs du temps se conjuguaient
Avec tes émois
Les rythmes étaient des appels
Ton regard que je cherchais
Sondait les plis des promesses
Les couleurs du temps se conjuguaient
Avec tes émois
Mais sais-tu que mon imagination
Ivre à pagayer
Cherchait le sens du jour
À contre-jour de tes cils
Qui se refermaient sur des espaces
Muets de soupirs
Ivre à pagayer
Cherchait le sens du jour
À contre-jour de tes cils
Qui se refermaient sur des espaces
Muets de soupirs
Mais sais-tu que ma douleur
D’être incompris
Tissait dans le tintement des cloches tristes
Et des mésanges bavardes
La transparence des ruisseaux
Qui confond et mêle des désirs
Épars
D’être incompris
Tissait dans le tintement des cloches tristes
Et des mésanges bavardes
La transparence des ruisseaux
Qui confond et mêle des désirs
Épars
Tu le savais
Je m’en souviendrai toujours
L’anneau que dessine le manège des rencontres
Unirait ma foi au versant de l’azur
Et tes soupirs aux ondes nivelant
L’ivresse des vagues.
Je m’en souviendrai toujours
L’anneau que dessine le manège des rencontres
Unirait ma foi au versant de l’azur
Et tes soupirs aux ondes nivelant
L’ivresse des vagues.
Sylvestre
LE BON,
in Le sens du jour,
recueil de poèmes à paraître.
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