des bougies
en cercles plantées
dans la plaie de l’homme
qui aboie
du malheur d’être
un décapité qui rêve
entre les cycles d’un cyclone
les tores d’une tornade
de l’absurde du monde
une rage sourde
lèche la morsure de
l’homme qui aboie
mais ne mord pas
mort
sa mort sûre
dans l’antre en vain voulu fœtal
de la terre
ventre talé létal
feu le monde
les bougies n’aboient plus
dans la plaie d’être
du décapité qui rêve.
Jean-Louis ROBERT.
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