Cette nuit sans sommeil
Enflammée d’absence
Suspendue au léger sourire
Qui parfois flotte dans tes yeux
Silence de ton souffle
Rassembler les fragments de nous
En chaleur fluide
Pour que demeure la douceur
De t’attendre
Lentement fermer la porte
Au gouffre impatient
De savoir ta voix
S’éloigner du manque
Comme d’une lumière aveuglante
S’élever au rêve
Et sentir cet autre monde
Sentir ce que sera
d’être deux.
Edith BERTHUIT.
2015.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire