Ta lumière a fini par partir, se tarir
Et rien, après, ou presque, n’en subsiste plus.
Nous ne savons pourquoi,
L’on ne comprend comment
On ne peut plus avoir accès à ta lumière
Qu’on ne maitrise plus;
On ne peut la comprendre,
Ni, non plus, la connaître.
N’en reste que le reflet hanté de ton âme,
Rien d’autre que quelques murailles crevassées,
Rien que points cardinaux
Tombés dans l'infini
... Rien, si ce n’est un palimpseste lumineux
Un rétrécissement qui sourit dans mes paumes,
A peine une trace, un filigrane affaibli,
Peau-de-chagrin qu’on a
Vidée de ton essence.
RANDRIANARIVELO Rufin.
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