Qu’est-ce qui construit ton paradis ? Cette solitude insensée,
à détourner ton visage. Hormis toi nul ne soupçonne cette sombre
iniquité.
L’abandon à ses erreurs. Se peut-il qu’auparavant l’on sache ?
Ce que tu prétends et crois.
Comme sont simples ta posture et son fastueux tourment.
Du noir et du blanc qui semblent parler bas. Et qui dénombrent ce
que l’on sait. Quand tout blesse, ton corps anxieux.
Quand tout blesse, ton corps anxieux !…
Dominique TEILLIER.
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