Je garde l'impétueuse imagination pour plus tard,
Il y a tellement à lire.
Un simple mot pourrait refaire toute mon éducation.
La réalité, c'est l'aire de dieu,
On y dépose des jours gris, gonflés de nuages
Gris aussi
Pour d'autres, du jaune, d'ordinaire solidaire au soleil, aux petits oiseaux.
On parle de moi,
Un vent violent, un chien qui aboie, un frelon bourdonne quand on ne l'entend pas,
On commence à tourner le dos aux êtres qui lisent.
J'irai aussi dormir, les rêves facilitent l'émerveillement,
L'écriture est une permission pour tout relire.
Zohra MRIMI.
Le 17 avril 2022.
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