SEPTEMBRE PARC ROYÈRE.
Au dessus du lézard
des chemins sombres
Veillent dolents
les pieux arbres noirs
Une phtisique lumière
s’immisce
entre les feuillages denses
Qu’aurais-je à être ailleurs ?
Parc Royère
un souffle d’air
lèche la nuque
Tourterelles roucoulent
Le bleu joue du gris
sur la face ventrale du ciel.
Serge-Mathurin THEBAULT.
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